Les animaux dits « de compagnie », comme les animaux utilisés dans l’élevage, ont été sélectionnés sur des critères répondant à des volontés humaines. Ils ne sont plus adaptés aux milieux auxquels leurs ancêtres appartenaient et n’y participent plus. Rien n’indique qu’il faille qu’un individu vive de la même manière que vivaient ses parents (c’est applicable à tous les sentients).
Dans certains cas, la réintroduction de ces animaux peut ou pourrait même poser problème.
Il n’y a donc pas de raison valable de le faire. Soit ils seront prédatés, soit ils prédateront en augmentant inutilement la somme de souffrance. Vouloir à tous prix que ces animaux vivent dans un milieu sauvage découle d’un appel à la nature.
La Réplique #059 explique le problème de la prédation et de la souffrance des animaux sauvages.