Être végane n’est pas une fin en soi. C’est un principe de cohérence vis-à-vis du mouvement de libération des êtres sentients.
Nous ne le sommes pas pour nous mais pour eux. Le changement ne passera pas par la consommation (même si celle-ci peut aider à simplifier la vie des véganes) mais par une opposition aux normes dominantes.
C’est une lutte qui se mène à l’échelle systémique et non individuelle.
Être végane dans son coin n’apporte rien aux animaux.
Il est impératif que le mouvement de libération des êtres sentients non humains s’organise.