- Destruction des habitats
- Destructions des sols
- Appropriation des terres
- Pollution des eaux
- Pollution des sols
- Pollution de l’air
- Mise à mort d’individus
- Dérégulation des écosystèmes
- Désertification des zones naturelles
- Extinction des espèces
- Réchauffement climatique
- …
Liste non exhaustive.
Les chasseurs sont responsables d’une 30aine de morts humaines par an (et entre 130 et 200 accidents). Nombre parfaitement acceptable selon les associations de chasse qui le comparent aux nombres d’erreurs médicales. Voici 3 sophismes cachés dans ce raisonnement :
Biais de la double faute
Fait que la chasse, accusée d’être mauvaise, se fait considérer comme bonne parce qu’on fait remarquer qu’elle n’est pas la seule à être mauvaise.
Biais d’échantillonnage
On oppose 2 situations choisies en ignorant celles qui ne répondent pas à nos critères.
Suppression de données pertinentes
Comparer la chasse, qui est un sport visant à tuer des individus, au domaine médical qui vise à en sauver, juste parce que les 2 engendrent des morts, n’a pas de sens de ce fait. La comparaison est donc irrecevable. Se passer de chasse sauverait plus de vie que de se passer d’hôpitaux.
Chasser c’est tuer pour le plaisir des animaux dont la plupart viennent d’élevages, de croisements permettant une prolifération des espèces, ou encore sont nourris par les chasseurs.
C’est aussi répandre du plomb dans la nature, terroriser la faune sauvage, pousser certains animaux à changer de rythme de vie pour ne sortir que la nuit…
La chasse n’est pas écologique.
Face à ces évidences, le seul argument en faveur de la chasse reste « le plaisir de pouvoir tuer ». Or celui ci n’est pas recevable d’un point de vue éthique.
Les chasseurs font partie de la catégorie des oppresseurs actifs. Ils ne nuisent pas par ignorance mais par choix, par confort personnel, par égoïsme, par plaisir…
S’ils ne peuvent être convaincus, ils doivent être combattus.